Le 19 octobre dernier, l'Institut Sainte-Marie de La Louvière a dû faire face à une fausse alerte à la bombe qui a entraîné l’évacuation, en quinze minutes à peine, de plus de 2000 élèves, grâce à la parfaite coordination des services et à la réactivité du corps enseignant. Ce méfait a eu un impact significatif sur la communauté éducative et, surtout, sur certains élèves qui ont subi un traumatisme.
Suite à cet incident, j’ai interrogé la ministre Caroline Désir, en Commission de l’Education du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles le 7 novembre, sur les procédures de crise et spécifiquement sur :
le suivi mis ou à mettre en place pour les élèves de l’Institut Sainte-Marie ;
les mesures pour prévenir de telles situations ;
les ressources ou formations spécifiques pour préparer les équipes éducatives ;
l’information des élèves quant à ces protocoles d’urgence.
Je prône le renforcement des concertations entre conseillers en prévention des différents Pouvoirs Organisateurs afin de faire émerger les pratiques les plus efficientes. Face à de tels cas de figure, il est crucial de trouver un équilibre entre la nécessaire information et le fait de ne pas tomber dans un climat paranoïaque, préjudiciable pour les enfants.
Retrouvez dans l'article de la DH une partie de mon intervention et la réponse de la ministre : https://rb.gy/qo4w82
Visionnez le reportage d’Antenne Centre à ce sujet : https://www.antennecentre.tv/.../alertes-la-bombe-le-plan...
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